Le 7 décembre, jour de la Saint Ambroise (le patron de Milan), voit l'ouverture de la saison lyrique de la Scala...
Cette année au programme...
Sous la direction prestigieuse de Daniel Barenboïm...
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| DANIEL BARENBOÏM |
Dans une production du canadien Robert Carsen...
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| ROBERT CARSEN et ANNA NETREBKO |
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Déception !
A part de rares moments (les scènes finales des 2 actes), la représentation m'a paru bien terne : est-ce du à la direction musicale ? à la mise en scène ? aux chanteurs ?
Sans doute un peu tout cela...
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Partout on avait annoncé une distribution exceptionnelle ???
A l'exception de Peter Mattei (habitué du rôle titre), je n'ai pas été trés enthousiasmé par les autres prestations : Bryn Terfel (Leporello) décevant vocalement, Anna Nebretko (Donna Anna) pas trés mozartienne...
Les autres interprètes sont inégaux : cela va de l'honorable (Barbara Frittoli - Elvira) au médiocre (Giuseppe Filianoti dans le rôle - il est vrai ingrat - de Don Ottavio)...
Déception !
A part de rares moments (les scènes finales des 2 actes), la représentation m'a paru bien terne : est-ce du à la direction musicale ? à la mise en scène ? aux chanteurs ?
Sans doute un peu tout cela...
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Partout on avait annoncé une distribution exceptionnelle ???
A l'exception de Peter Mattei (habitué du rôle titre), je n'ai pas été trés enthousiasmé par les autres prestations : Bryn Terfel (Leporello) décevant vocalement, Anna Nebretko (Donna Anna) pas trés mozartienne...
Les autres interprètes sont inégaux : cela va de l'honorable (Barbara Frittoli - Elvira) au médiocre (Giuseppe Filianoti dans le rôle - il est vrai ingrat - de Don Ottavio)...
I
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| PETER MATTEI |
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En ce qui concerne la mise en scéne, si je n'ai pas trop aimé la gestuelle (souvent ridicule) imposée aux chanteurs, l'utilisation de la salle elle-même de la Scala comme base du décor m'a beaucoup plu : panneaux coulissants reproduisant le rideau de scène, miroirs, acteurs au milieu du public, perspectives...
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Curieux mais intéressant : dans la scène finale, aprés sa descente en enfer, Don Giovanni réapparait triomphant sur le plateau nu du théatre, tandis que les autres protagonistes sont engloutis dans la terre...
Naissance du mythe ?
En ce qui concerne la mise en scéne, si je n'ai pas trop aimé la gestuelle (souvent ridicule) imposée aux chanteurs, l'utilisation de la salle elle-même de la Scala comme base du décor m'a beaucoup plu : panneaux coulissants reproduisant le rideau de scène, miroirs, acteurs au milieu du public, perspectives...
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Curieux mais intéressant : dans la scène finale, aprés sa descente en enfer, Don Giovanni réapparait triomphant sur le plateau nu du théatre, tandis que les autres protagonistes sont engloutis dans la terre...
Naissance du mythe ?
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Présentation video du spectacle...
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