Depuis sa création à l'Opéra du Caire en 1871, Aïda a presque toujours été représentée de manière "grandiose" : elle fait les beaux soirs des Arènes de Vérone et autres festivals de plein air...
Cette production (de Sonia Frisell) ne fait pas exception à la règle (il y a même des chevaux sur le plateau du Met .....).
Cette production (de Sonia Frisell) ne fait pas exception à la règle (il y a même des chevaux sur le plateau du Met .....).
Toutefois, s'il est vrai qu'il y a quelques scènes spectaculaires (tel le Triomphe de Radames, avec un ballet un peu difficile à avaler...) il me semble que Aïda est plutôt un opéra intimiste (cf notamment les 3° et 4° actes, d'ailleurs les plus beaux de l'oeuvre)...
On peut donc rêver d'une mise en scène sur un plateau complètement dépouillé..
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Bonne soirée tout de même sous la direction musicale de Fabio Luisi.
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Radames était interprété par Roberto Alagna (il ne m'a pas enthousiasmé, mais n'ajoutons pas à la polémique...)
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Olga Borodina, la mezzo-soprano russe : une excellente Amneris...
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Ici avec Liudmila Monastyrska, la soprano ukrainienne dans le rôle d'Aïda...
Olga Borodina, la mezzo-soprano russe : une excellente Amneris...
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Ici avec Liudmila Monastyrska, la soprano ukrainienne dans le rôle d'Aïda...
Liudmila Monastyrska, une impressionnante Aïda (dont le superbe duo avec Amonasro, interprété par le baryton George Gagnidze)....
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Un court extrait d'Aïda...
Un court extrait d'Aïda...
C'est vrai qu'Aida gagne à des approches intimistes avec des orchestres réduits (ce qui permet de mieux apprécier la finesse de l'orchestration, notamment le raffinement de l'écriture pour les cordes).
RépondreSupprimerAida au Stade de France
Je mets un renvoi vers ta note, sur mon post!
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