Ce dimanche 22 mars : 2669° représentation de Faust à l'Opéra de Paris
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Deux places retenues il y a plusieurs mois : nous avions très envie de voir sur scène, "en vrai", le ténor Piotr Beczala...
Mais voila que la lecture de la presse largement défavorable refroidit notre enthousiasme et c'est sans conviction que nous nous sommes dirigés vers la Bastille ce jour-là...
La bonne surprise !
Nous avons été enchantés...
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Tout en conservant une partie de l'énorme dispositif scénique réalisé pour la reprise de Faust en 2011 dans la production de Martinoty, Jean-Romain Vesperini a imaginé une nouvelle mise en scène notamment en déplaçant l'action dans les années 1930 et en considérant que l'opéra est un fantasme de Faust mourant après l'absorption du poison :
Nous n'avons pas été les seuls à apprécier si l'on en juge par les applaudissements qui ont pontué toute la représentation et par les véritables ovations reservées, au salut final, à tous les solistes, mais aussi au choeur et au magnifique orchestre dirigé par Michel Plasson (81 ans).
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Une superbe distribution internationale :
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Deux places retenues il y a plusieurs mois : nous avions très envie de voir sur scène, "en vrai", le ténor Piotr Beczala...
Mais voila que la lecture de la presse largement défavorable refroidit notre enthousiasme et c'est sans conviction que nous nous sommes dirigés vers la Bastille ce jour-là...
La bonne surprise !
Nous avons été enchantés...
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Tout en conservant une partie de l'énorme dispositif scénique réalisé pour la reprise de Faust en 2011 dans la production de Martinoty, Jean-Romain Vesperini a imaginé une nouvelle mise en scène notamment en déplaçant l'action dans les années 1930 et en considérant que l'opéra est un fantasme de Faust mourant après l'absorption du poison :
"...Marguerite, dont l'âme monte au ciel, comme il est écrit dans le livret,est-elle bien une créature vivante? N'est-elle pas plutôt le rêve fantasmé de Faust en train d'agoniser à son bureau après avoir bu la coupe de poison? Quant à Méphistophélès, emmène-t-il aux enfers ou bien est-il lui aussi une créature imaginaire qui s'évanouit dans l'ultime soupir du Docteur Faust?" (J.R. Vesperini)
-Nous n'avons pas été les seuls à apprécier si l'on en juge par les applaudissements qui ont pontué toute la représentation et par les véritables ovations reservées, au salut final, à tous les solistes, mais aussi au choeur et au magnifique orchestre dirigé par Michel Plasson (81 ans).
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Une superbe distribution internationale :
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Le ténor polonais Piotr Beczala (Faust)...
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La soprano bulgare Krassimira Stovanova (Marguerite)...
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La basse russe Ildar Abdrazarov (Méphistophélès)...
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Le baryton québécois Jean-François Lapointe (Valentin)...
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La mezzo-soprano française Anaïk Morel (Siebel)...
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ALBUM
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Le ténor polonais Piotr Beczala (Faust)...
La soprano bulgare Krassimira Stovanova (Marguerite)...
La basse russe Ildar Abdrazarov (Méphistophélès)...
Le baryton québécois Jean-François Lapointe (Valentin)...
La mezzo-soprano française Anaïk Morel (Siebel)...
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ALBUM
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Super ! Très belle distribution en effet, et en plus, avec Plasson dans la fosse, qui connait l'oeuvre comme sa proche et qui la dirige avec beaucoup de velouté et de sensualité, ce devait être une belle soirée. La presse a en effet tiré à vue sur la mise en scène, une fois de plus, mais je vois à ton enthousiasme qu'encore une fois, les avis des grincheux ne doivent pas être pris en compte...
RépondreSupprimerBonne soirée
Amitiés
JF
Distribution internationale, s'il en est ! Les décors sont visiblement magnifiques. J'imagine que le mise en scène fut au diapason. Mais, il faut bien que les critiques gagnent leur croûte Trouver le petite bête, c'est évidemment toujours possible. Heureux donc que tu aies ici vécu une belle soirée.
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