Deux romans peu connus d'Alexandre Dumas à découvrir : parfaits pour lire en voyage !
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GEORGES (1843)
Dans ce roman, en s'inspirant de la vie de son père, mulâtre et fils d'esclave, Dumas aborde (ce qu'il a rarement fait) les problèmes liés au racisme, à l'esclavage, à la colonisation...
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LE FILS DU FORCAT (1859)
ou
Histoire d'un cabanon et d'un chalet
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Comment une simple querelle de voisinage va nous plonger dans la tragédie, le vengeance, la mort...
Un (mélo)drame palpitant sous le soleil de Marseille...
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Dans ce roman, en s'inspirant de la vie de son père, mulâtre et fils d'esclave, Dumas aborde (ce qu'il a rarement fait) les problèmes liés au racisme, à l'esclavage, à la colonisation...
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«- Et quelle est cette réponse, Monsieur ? demanda Georges. - Cette réponse est que votre seconde demande est pour le moins aussi exagérée que la première. Je ne me bats pas avec un mulâtre... - C'est votre dernier mot ? dit-il. - Oui, Monsieur, répondit Henri. - Et, saluant MM. de Malmédie, il se retira suivi du gouverneur. - Je vous l'avais bien prédit, Monsieur, dit lord Williams lorsqu'ils furent à la porte. - Et vous ne m'aviez rien prédit que je ne susse d'avance, milord, répondit Georges ; mais je suis revenu ici pour accomplir une destinée. Il faut que j'aille jusqu'au bout. J'ai un préjugé à combattre. Il faut qu'il m'écrase ou que je le tue.»
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LE FILS DU FORCAT (1859)
ou
Histoire d'un cabanon et d'un chalet
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Comment une simple querelle de voisinage va nous plonger dans la tragédie, le vengeance, la mort...
Un (mélo)drame palpitant sous le soleil de Marseille...
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"En ce temps-là Marseille avait une banlieue pittoresque et romantique, et point, comme aujourd’hui une banlieue verdoyante et fleurie.
Du haut de la montagne de Notre-Dame de la Garde, il était aussi facile de compter les maisons égrenées dans la plaine et sur les collines, qu’il l’était de nombrer les navires et les tartanes qui diapraient de leurs voiles blanches et rouges l’immense nappe bleue qui s’étend jusqu’à l’horizon..."
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"On a beau inventer des sauces pour une girelle, toute belle qu’elle est, c’est toujours un mauvais poisson, et ses écailles vertes et orangées ne lui donnent pas un meilleur goût ; c’est toujours aux dépens du cœur que Dieu nous accorde la beauté du visage."
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