2 Golden Globes 2020 (meilleur film et meilleur réalisateur)
ET
En route pour les Oscars du 9 février...
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Quand la forme l'emporte sur le fond !
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Synopsis :
En dépit d'un scénario aberrant, bourré d'invraisemblances et de clichés, d'une musique belle certes mais trop envahissante, le film se laisse voir sans ennui grâce à la réalisation virtuose de Sam Mendes et à la splendeur de la photographie de Roger Deakins.
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L'action est censée se dérouler en temps réel (soit la durée de la projection) : un nombre invraisemblable de scènes pendant ces 2 heures où de plus l'on passe sans problème du jour à la nuit, puis de la nuit au jour...
Dans un catalogue d'invraisemblances, d'incohérences et de maladresses, on peut noter :
la gentillesse des deux soldats britanniques qui sauvent la vie d'un pilote d'avion allemand abattu,
la méchanceté dudit allemand qui va poignarder à mort l'un d'eux,
des allemands d'ailleurs qui ne savent pas se servir de leurs fusils,
une rivière torrentielle en Picardie,
la traite d'une vache en train de paître paisiblement près du champ de bataille,
ETC...ETC...
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Remarquable réalisation donc de Sam Mendes :
Le vrai/faux plan-séquence
(Rappel : Un plan-séquence est une scène entière tournée en une seule prise.)
Dans 1917 nous sommes évidemment en présence d'une succession de plans-séquences habilement raccordés, de sorte que l'on peut avoir l'impression que le film a été tourné d'affilée.
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En définitive donc une mécanique parfaitement huilée mais qui tourne un peu à vide.
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IMAGES :
Dean-Charles Chapman (Blake)...
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George MacKay (Schofield)...
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Rencontre avec la jeune française (Claire Duburcq) : la scène frise le ridicule ...
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"Pris dans la tourmente de la Première Guerre Mondiale, Schofield et Blake, deux jeunes soldats britanniques, se voient assigner une mission à proprement parler impossible. Porteurs d’un message qui pourrait empêcher une attaque dévastatrice et la mort de centaines de soldats, dont le frère de Blake, ils se lancent dans une véritable course contre la montre, derrière les lignes ennemies."
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En dépit d'un scénario aberrant, bourré d'invraisemblances et de clichés, d'une musique belle certes mais trop envahissante, le film se laisse voir sans ennui grâce à la réalisation virtuose de Sam Mendes et à la splendeur de la photographie de Roger Deakins.
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L'action est censée se dérouler en temps réel (soit la durée de la projection) : un nombre invraisemblable de scènes pendant ces 2 heures où de plus l'on passe sans problème du jour à la nuit, puis de la nuit au jour...
Dans un catalogue d'invraisemblances, d'incohérences et de maladresses, on peut noter :
la gentillesse des deux soldats britanniques qui sauvent la vie d'un pilote d'avion allemand abattu,
la méchanceté dudit allemand qui va poignarder à mort l'un d'eux,
des allemands d'ailleurs qui ne savent pas se servir de leurs fusils,
une rivière torrentielle en Picardie,
la traite d'une vache en train de paître paisiblement près du champ de bataille,
ETC...ETC...
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Remarquable réalisation donc de Sam Mendes :
Le vrai/faux plan-séquence
(Rappel : Un plan-séquence est une scène entière tournée en une seule prise.)
Dans 1917 nous sommes évidemment en présence d'une succession de plans-séquences habilement raccordés, de sorte que l'on peut avoir l'impression que le film a été tourné d'affilée.
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En définitive donc une mécanique parfaitement huilée mais qui tourne un peu à vide.
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IMAGES :
Dean-Charles Chapman (Blake)...
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George MacKay (Schofield)...
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Rencontre avec la jeune française (Claire Duburcq) : la scène frise le ridicule ...
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Merci pour ta belle note très complète.
RépondreSupprimerJ'avoue que j'hésitais à aller voir ce film et
tes commentaires me confortent dans mes hésitations!
Par contre j'avais apprécié Skyfall...mais je
suis bon public pour ce genre de film forcément
bourré d'invraisemblances.
Avec mes amitiés,
JPS