Créé à Houston en 1987 l'opéra de John Adams relate la visite de Richard Nixon en Chine en 1972,
Etape importante dans le processus de "normalisation" des relations diplomatiques entre les deux pays.
Etape importante dans le processus de "normalisation" des relations diplomatiques entre les deux pays.
Cette visite est considérée comme un cas typique de la "realpolitik".
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Mes impressions : quelque peu désemparé devant une telle œuvre !
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La musique de John Adams dite "minimaliste" très admirée ne m'a ni enthousiasmé ni choqué : mais je ne suis pas du tout un spécialiste des compositions contemporaines.
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Quant au livret d'Alice Goodman, écrit notamment d'après les discours de Richard Nixon et Mao Zedong, il m'a semblé bien confus .
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En définitive pourtant j'ai bien apprécié cette retransmission !
Un spectacle réussi donc grâce à la mise en scène de l'argentine Valentina Carrasco et à un plateau exceptionnel.
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Une mise en scène inventive, onirique, époustouflante avec des tableaux saisissants.
Remarquables prestations des chœurs et de l'orchestre sous la direction de Gustavo Dudamel.
Tous les solistes sont à l'avenant. Parmi eux on peut citer :
Thomas Hampson (Nixon)
Renée Fleming rayonnante de présence (Pat Nixon)
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A méditer la dernière réplique de Zhou Enlai :
« Dans tout ce que nous avons fait, qu'y a-t-il eu de bien ? »
J'avoue que je ne suis pas tenté par cet opéra, si ce n'est pour écouter Renée Fleming dans un rôle inhabituel.
RépondreSupprimerLa musique minimaliste et contemporaine ne m'attire pas. J'avais pu voir il y a quelques années Satyagraha de Philip Glass, musicien contemporain également, certes très doué, mais je n'avais pas apprécié! Merci en tout cas pour ta note.
J'ai vu que Mezzo allait prochainement diffuser Einstein on the Beach de Glass donné au Chatelet en 2014...Je vais tenter l'expérience !
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