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Quelque part dans l'Aubrac, Johann possède une petite ferme héritée de son père...
Dans un contexte d'une "économie" rurale en pleine mutation, il va lutter pour maintenir, à tout prix, les méthodes traditionnelles d'exploitation dont il ne souhaite pas se détacher....
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Une suite de longs plans donnent à ce beau film un ton mélancolique et contemplatif que j'ai beaucoup aimé.
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Dans un contexte d'une "économie" rurale en pleine mutation, il va lutter pour maintenir, à tout prix, les méthodes traditionnelles d'exploitation dont il ne souhaite pas se détacher....
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Une suite de longs plans donnent à ce beau film un ton mélancolique et contemplatif que j'ai beaucoup aimé.
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Le réalisateur rend un bel hommage à la fois à la nature (magnifiquement photographiée) et à toute une petite paysannerie qui semble condamnée à mourir...
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Excellente direction d'acteurs avec un Vincent Rottiers trés convaincant dans le rôle de Yohann...
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"Il est très difficile de continuer à voir la raison d’être du travail paysan dans le monde régi par le capital. Pourtant, il a sa raison d’être. Il ne peut subsister que si quelqu’un, individuellement, pense ou sent que c’est important. Si quelqu’un le fait par amour. Le film raconte un monde qui ne répond plus aux choses faites par amour, par passion, et c’est essentiel au film"
(John Shank).
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Premier Film de
John Shank
John Shank
né aux Etats-Unis
en 1977
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Réalisateur et scénariste.
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Il travaille en Belgique et en France.
Il travaille en Belgique et en France.
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Toujours au cinéma ? Ma parole, tu dois avoir un cinoche au pied de ton escalier ! En attendant, tu as le chic pour trouver les films qui veulent dire qelque chose. Comme celui-ci par exemple. Qui me rappelle la "vendue" dont a été victime le père de mon gendre, parti en retraite sans repreneur de sa ferme. Aujourd'hui, il vit une paisible retraite dans un village vosin, mais, ce jour-là, il a versé plus d'une larme. A plus. Bonne fin d'après-midi. Florentin
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