Un film quelque peu austère et difficile, mais que la force de son sujet rend passionnant...
Doit-on oublier son passé ?
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4 / 5
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En 1958, un peintre rencontre par hasard un enseignant en qui il reconnaît un de ses anciens bourreaux à Auschwitz.
Un journaliste va s'emparer de l'affaire et Alexander, un jeune procureur, sera finalement chargé, avec son équipe, d'une longue et très difficile procédure d'enquêtes qui aboutira au procés de Francfort (octobre 1963 à août 1965) où seront jugés plusieurs membres de la direction du camp de la mort...
Un long silence était enfin rompu :
Le Procureur (Johann Radmann)...
l
l
l
Le Procureur Général (Gert Voss)...
l
Le Journaliste (André Szymanski)...
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Deux répliques du film :
"Auschwitz, c'est quoi ? Un endroit en Pologne, je crois."
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"Faut-il que chaque jeune Allemand se demande si son père est un meurtrier ? "
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La bande annonce :
Doit-on oublier son passé ?
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4 / 5
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En 1958, un peintre rencontre par hasard un enseignant en qui il reconnaît un de ses anciens bourreaux à Auschwitz.
Un journaliste va s'emparer de l'affaire et Alexander, un jeune procureur, sera finalement chargé, avec son équipe, d'une longue et très difficile procédure d'enquêtes qui aboutira au procés de Francfort (octobre 1963 à août 1965) où seront jugés plusieurs membres de la direction du camp de la mort...
Un long silence était enfin rompu :
"l'Allemagne a vécu avec une chape de plomb pendant 20 ans" (Giulio Ricciarelli)
---Le Procureur (Johann Radmann)...
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Le Procureur Général (Gert Voss)...
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Le Journaliste (André Szymanski)...
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Deux répliques du film :
"Auschwitz, c'est quoi ? Un endroit en Pologne, je crois."
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"Faut-il que chaque jeune Allemand se demande si son père est un meurtrier ? "
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La bande annonce :
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Giulio Ricciarelli
né à Milan en 1965
Nationalité allemande
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Acteur, Réalisateur, Scénariste.
"Le labyrinthe du silence" est son premier long métrage
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Giulio Ricciarelli
né à Milan en 1965
Nationalité allemande
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Acteur, Réalisateur, Scénariste.
"Le labyrinthe du silence" est son premier long métrage
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Tellement difficile de reconnaître ses fautes ! Et lorsque ces fautes ont été abominables, encore plus encore. On comprend que les autorités allemandes aient voulu qu'on enterre les choses. Mais, il faut se souvenir. Le fameux "devoir de mémoire". Je note aussi ce titre, je verrai ce film. Sûr. Que le réalisateur soit de nationalité allemande est particuièfrement significatif. J'apprécie. A plus. Florentin.
RépondreSupprimerMoi aussi, je note bien le titre de ce film dont le sujet m'intéresse.
RépondreSupprimerBon week-end
JF