La Traviata créée en 1953 à La Fenice est l'opéra culte par excellence...
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La 1001ème représentation au Metropolitan Opéra de New York a été relayée par plus de 2000 cinémas dans 70 pays !
La 1001ème représentation au Metropolitan Opéra de New York a été relayée par plus de 2000 cinémas dans 70 pays !
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Superbe soirée ("ma" meilleure Traviata depuis bien longtemps) sous la direction musicale du chef italien Nicola Luisotti
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La mise en scène de Willy Decker, créée pour le Festival de Salzbourg de 2005 (Rizzi, Netrebko, Villazón, Hampson) est toujours aussi efficace : sobre, précise, stylisée, implacable(elle semble mener inexorablement l'héroine vers sa mort), cette production laisse toute la place à la musique et aux interprètes.
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Pas mal de réserves lues ici ou là (peut-être justifiées..) faites par d'éminents spécialistes n'ont nullement tempéré mon enthousiasme pour cette représentation mémorable.
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La soprano Bulgare Sonia Yoncheva a maitrisé son rôle à la perfection aussi bien vocalement que scéniquement : une Violetta successivement insouciante, émouvante, puis déchirante...
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Très belle prestation également du ténor américain Michael Fabiano parfaitement à l'aise : il interprète un Alfredo tour à tour tendre, impétueux, bouleversant...
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Bien également le baryton américain Thomas Hampson dans son interprétation du père d'Alfredo : la voix a quelque peu perdu de son éclat, mais j'ai trouvé sa composition moins rigide, plus humaine que précédemment (cf. Salzbourg 2005)...
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Un formidable acte III :
I
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Quelques courts extraits :
Superbe soirée ("ma" meilleure Traviata depuis bien longtemps) sous la direction musicale du chef italien Nicola Luisotti
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La mise en scène de Willy Decker, créée pour le Festival de Salzbourg de 2005 (Rizzi, Netrebko, Villazón, Hampson) est toujours aussi efficace : sobre, précise, stylisée, implacable(elle semble mener inexorablement l'héroine vers sa mort), cette production laisse toute la place à la musique et aux interprètes.
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Pas mal de réserves lues ici ou là (peut-être justifiées..) faites par d'éminents spécialistes n'ont nullement tempéré mon enthousiasme pour cette représentation mémorable.
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La soprano Bulgare Sonia Yoncheva a maitrisé son rôle à la perfection aussi bien vocalement que scéniquement : une Violetta successivement insouciante, émouvante, puis déchirante...
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Très belle prestation également du ténor américain Michael Fabiano parfaitement à l'aise : il interprète un Alfredo tour à tour tendre, impétueux, bouleversant...
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Bien également le baryton américain Thomas Hampson dans son interprétation du père d'Alfredo : la voix a quelque peu perdu de son éclat, mais j'ai trouvé sa composition moins rigide, plus humaine que précédemment (cf. Salzbourg 2005)...
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Un formidable acte III :
I
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Quelques courts extraits :
Acte II "O mio rimorso"
ACTE II Duo "Amami, Alfredo"
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Acte III "Addio del passato"...
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La Traviata et nous (film de Philippe Beziat 2012)
MET 2012
SCALA 2013
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Voir aussi l'article très documenté
du
Promeneur du 68 ---) ICI
MET 2012
SCALA 2013
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Voir aussi l'article très documenté
du
Promeneur du 68 ---) ICI
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J'ai également posté un renvoi vers ton
RépondreSupprimerarticle sur ma note.
Ah, l'opéra : une source inépuisable d'émotions,
d'enthousiasme...ou de déceptions.
Bonne journée, amitié,
JPS