Encore Dave Robicheaux (dans sa 18ème enquête) !
Je ne m'en plains pas...
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Présentation de l'éditeur :
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Dans ce superbe roman particulièrement tragique et violent, le mythique enquêteur va devoir affronter, en compagnie de Clete son ami détective, une brochette de crapules de haut vol...
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Heureux de retrouver Dave, presque comme on revoit un vieil ami...
Dave, personnage fictif certes mais particulièrement réussi, tellement vivant et attachant...
Dave, l'ancien alcoolique, hanté par les souvenirs de la guerre du Vietnam, qui a vieilli mais qui est toujours porté par un profond sentiment de révolte contre les injustices :
« Le système truque les dés en faveur de ceux qui ont l’argent et le pouvoir, et celui qui croit le contraire mérite tout ce qui peut lui arriver. »
Dave tellement attaché à sa femme Molly, à sa fille adoptive Alafair, à son ami de toujours Clete...
Dave enfin amoureux de la Louisiane et de sa nature.
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Extraits :
Je ne m'en plains pas...
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Présentation de l'éditeur :
".... Dave Robicheaux est entraîné dans une enquête déchirante sur le meurtre de sept jeunes femmes. Alors que tout semble indiquer la piste d'un sérial killer, la mort d'une étudiante, bien différente des marginales habituellement prises pour cible par les tueurs de femmes, l'intrigue. Robicheaux et son ami Clete s'en prennent aussitôt à Herman Stanga, maquereau et dealer notoire. La confrontation tourne à la bagarre devant témoins, ce qui place Clete dans une situation d'autant plus délicate que Stanga est à son tour assassiné. Dans le même temps, Alafair, la fille adoptive de Robicheaux, est séduite par un écrivain issu d'un clan bien connu de Louisiane, des gens corrompus et manipulateurs qui font craindre le pire à Dave. Mais Alafair ne veut rien savoir et commence à s'éloigner de son père..."
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Dans ce superbe roman particulièrement tragique et violent, le mythique enquêteur va devoir affronter, en compagnie de Clete son ami détective, une brochette de crapules de haut vol...
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Heureux de retrouver Dave, presque comme on revoit un vieil ami...
Dave, personnage fictif certes mais particulièrement réussi, tellement vivant et attachant...
Dave, l'ancien alcoolique, hanté par les souvenirs de la guerre du Vietnam, qui a vieilli mais qui est toujours porté par un profond sentiment de révolte contre les injustices :
« Le système truque les dés en faveur de ceux qui ont l’argent et le pouvoir, et celui qui croit le contraire mérite tout ce qui peut lui arriver. »
Dave tellement attaché à sa femme Molly, à sa fille adoptive Alafair, à son ami de toujours Clete...
Dave enfin amoureux de la Louisiane et de sa nature.
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Extraits :
« Où que tu ailles, lui dit Dave, cinq minutes après ton arrivée, le plâtre tombe du plafond. T'es comme un train qui essaie de rouler sur un chemin de terre. »
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"La maison des Abelard, avec sa colonnade grecque et sa véranda à l'étage, avait été autrefois une splendide demeure dans l'ambiance édénique que John James Audubon avait peinte, avec ses oiseaux magnifiques qui vivaient au milieu des arbres et des fleurs."
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"En des instants pareils, je savais que la Louisiane était toujours un lieu magique, pas très différente de ce qu'elle était quand Jim Bowie et son associé, le pirate Jean Laffite, , faisaient entrer illégalement des esclaves aux Etats-Unis et les gardaient dans des baraquements spéciaux, parfois très près de l'endroit où je me tenais. Quiconque doute de ce que je viens de dire peut visiter un île à l'extrémité sud de cette paroisse-là, et il trouvera peut-être certains des ossements pour lesquels elle est réputée. Les crânes, les vertèbres, les cages thoraciques et les fémurs blanchis dans le sable appartenaient à une cargaison d'esclaves abandonnés par un capitaine kidnappeur qui les a livrés à la faim quand il a craint d'être pris. La Louisiane est un poème, mais, comme dans l'épopée homérique, il ne faut pas en examiner les héros de trop près."
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"Je souhaitais pouvoir monter sur le pont d'un bateau à aubes et disparaître dans le XIX° siècle."
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« J'entendis la roue à aubes s'animer à la proue, aspergeant l'air de ses éclaboussures. Puis je vis Clete émerger de la brume sur le rivage, le visage exsangue, les vêtements tachés de boue, zébrés d'eau. Il tituba sur la passerelle, comme un ivrogne irascible en train de gâcher une fête, me prenant dans ses bras, bloquant ses mains derrière mon dos, me ramenant vers la rive. Sa bouche était pressée contre un côté de ma tête, et j'entendais sa voix rauque à quelques centimètres de mon oreille. « Tu ne peux pas partir, Belle Mèche. Les Bobbsey Twins de l'homicide sont éternels. »
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James Lee Burke
né en 1936 à Houston
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En bas à droite (avec sa fille Alafair, également romancière)...
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Voir également sur ce blog La nuit la plus longue
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James Lee Burke
né en 1936 à Houston
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En bas à droite (avec sa fille Alafair, également romancière)...
-
Voir également sur ce blog La nuit la plus longue
Ah! Encore un James Lee Burke!
RépondreSupprimerEt Dave Robicheaux est tellement attachant
dans cette Louisianne si particulière que je connais un peu
et où j'ai l'envie de revenir...
Amitié
JPS
Depuis que tu me l'as fait connaître , j'ai lu trois des romans de Burke, dont l'un de ses derniers parus "La lumière du monde". Tu n'as plus besoin de me faire l'article, je suis conquis. J'ai sur ma liseuse trois ou quatre de ses bouquins. Je vais repiquer un de ces jours au truc. Pas tout de suite, car je suis plongé dans 'Les rois maudits" de Maurice Druon (6 tomes !). Pour l'heure je vis avec Louis X le Hutin, un falot cocufié par la célèbre Marguerite de la Tour de Nesle. Bonne fin de Dimanche. Florentin
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