Bourreaux malgré eux...
DECHIRANT !
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Synopsis :
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Des témoignages absolument bouleversants, souvent même insoutenables, sur "un monde à part"...
Un monde où hommes et femmes doivent lutter, chaque jour, contre leurs propres émotions pour arriver à "tenir".
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La réalisation est absolument remarquable :
Le documentaire à été filmé dans le cadre idyllique d'une forêt, aucune image n'ayant été captée en abattoir...
Le contraste entre la beauté des images et la dureté des témoignages est saisissant !
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La réalisatrice précise à cet égard :
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IMAGES :
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l
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Difficile d'oublier ces visages...
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DECHIRANT !
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Synopsis :
"Ils s’appellent Joseph, Mauricio, Nadine, Stanislas, Stéphane, Olivier, Michel et semblent, en nous racontant le travail à l’abattoir, témoigner d’une sorte de front de guerre insensé et irréel, d’un monde aussi indescriptible qu’innommable, et pourtant, bien qu’ »invisible » aux yeux de ceux qui n’y pénètrent jamais, bel et bien réel puisqu’installé à la porte de nos villes et villages. Ils décrivent ce qui les a conduits à devoir s’y rendre et à n’avoir comme seul choix que de ne plus pouvoir en partir. Disent combien ce travail à nul autre comparable est source de tourments. Il est question de blessures psychiques, de détresse et failles émotionnelles, de distorsions psychologiques, de cauchemars récurrents, de traumatismes, et en creux de tous les non-dits."
"En plus des récits des ouvriers viennent s’ajouter la parole de Martial, un ancien agent vétérinaire en abattoir, et celle de Sandro de Gasparo, ergonome de l’activité, spécialiste en santé et travail, qui a participé il y a quelques années à une étude sur les souffrances psychiques des ouvriers en abattoir."
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Des témoignages absolument bouleversants, souvent même insoutenables, sur "un monde à part"...
Un monde où hommes et femmes doivent lutter, chaque jour, contre leurs propres émotions pour arriver à "tenir".
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La réalisation est absolument remarquable :
Le documentaire à été filmé dans le cadre idyllique d'une forêt, aucune image n'ayant été captée en abattoir...
Le contraste entre la beauté des images et la dureté des témoignages est saisissant !
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La réalisatrice précise à cet égard :
"Tous m’ont parlé de deux mondes séparés, c’est-à-dire la vie civile et la vie de l’abattoir. Ils parlent tout le temps de ce passage d’un monde à l’autre, de cette nécessité de fermer des portes, des rideaux, de séparer les choses. (…) Il fallait donc trouver un dispositif qui leur permette de parler sans être ni dans leur quotidien — parce qu’ils ne parlent jamais de ça à leurs familles —, ni dans l’abattoir — parce que pour supporter l’abattoir, ils doivent se blinder.
Si j’avais fait le choix de mettre des images d’abattoir, cela aurait été soit sidérant pour le téléspectateur — donc cela aurait fait écran entre la parole de l’ouvrier et lui — ou soir en deçà de la réalité — parce que la vraie expérience sensorielle, c’est quand on est dans l’abattoir."
---Si j’avais fait le choix de mettre des images d’abattoir, cela aurait été soit sidérant pour le téléspectateur — donc cela aurait fait écran entre la parole de l’ouvrier et lui — ou soir en deçà de la réalité — parce que la vraie expérience sensorielle, c’est quand on est dans l’abattoir."
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IMAGES :
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---Difficile d'oublier ces visages...
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Cette réalité, on ne veut pas la voir!
RépondreSupprimerMerci pour ton article sur la réalité bouleversante vécue par
toutes ces personnes.
Je vais essayer de voir si le replay existe.
Alitié de
JPS
Je me suis dégonflé. Peur de l'insoutenable des dires...
RépondreSupprimerJ'ai visionné ce documentaire : bouleversant!
RépondreSupprimerMerci et amitiés
JPS