Aaron, marié, père de famille, membre influent d'une communauté juive ultra-orthodoxe de Jérusalem, voit sa vie bouleversée par la rencontre d'un jeune étudiant qui l'émeut et dont il tombe éperdument amoureux (amour partagé).
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Mais dans une telle communauté "le concept de l'homosexualité n'existe pas, on ne peut pas ÊTRE homosexuel. Tout au plus est-ce une pulsion qui passera." nous dit le réalisateur qui ajoute que son film "est donc en quelque sorte un film de science-fiction"
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Sous le regard terrible de la communauté, Aaron va devoir faire un choix douloureux...
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Haim Tabakman (ci-dessus), dans ce film trés beau et poignant (son premier long métrage), a su rendre parfaitement les contraintes et le sentiment d'étouffement qu'un tel cadre de vie fait peser sur les personnages.
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Belle embellie du cinéma israélien en ce moment ("Lebanon", film de Samuel Maoz vient d'obtenir le Lion d'or à Venise) !
Jean-Claude, j'aurais tant aimé voir ce film mais la santé ... sujet vaste, intéressant, j'aime beaucoup le cinéma israëlien actuel.
RépondreSupprimerTu me demandes comment je vais, je réponds que puisque je t'écris c'est que je commence à aller moins mal. Je vais essayer de conduire mon véhicule mais j'ai une trouille pas possible, rien ne presse en réalité, depuis fin avril, je ne sais même pas si elle roule !
Viens voir comment je t'ai présenté, ainsi que tous les favoris (sur la colonne de droite sur overblog), un doux mot pour chacun, et pas le même mot, dis moi ce que tu en penses, cela me rassurerait, j'ai peur d'avoir aussi perdu mon aisance relative à l'écriture ... je t'embrasse, sincèrement, Gaby