mardi 14 janvier 2014

PHILOMENA - Stephen FREARS - Angleterre

En 2002 Peter Mullan remportait le Lion d'Or à Venise pour
"The Magdalene Sisters"
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Film sur le drame des filles mères en Irlande, ces filles considérées comme "perdues" par leurs familles étaient enfermées de force dans des asiles religieux "les Magdalene Houses", en fait de véritables prisons (la dernière ne fut fermée qu'en 1996...)
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4,5 / 5
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Inspiré également d'une histoire vécue, le film de Stephen Frears prend un peu le relais de celui de Peter Mullan...
Cinquante ans plus tard, Philomena se lance, avec l'aide d'un journaliste au chômage, à la recherche de l'enfant qu'elle a eu dans un couvent des soeurs du Sacré-Coeur...
L'Eglise avait fait adopter son fils supposé orphelin par une riche famille américaine, et ce, comme cela se faisait alors, moyennant finance...
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De ce fait réel Stephen Frears a tiré un beau film qui est à la fois une comédie, un drame, et même un peu un polar...
J'ai particulièrement aimé la "relation" entre Philomena, restée une fervente croyante, et Martin, le journaliste désabusé...
Deux personnages magistralement interprétés par...
Judi Dench...
et
Steve Cogan (également co-scénariste et co-producteur du film)...
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Sophie Kennedy Clark est Philomena jeune...
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Le film a obtenu le Prix du Meilleur Scénario à Venise.
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Stephen Frears
né en 1941 à Leicester
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Réalisateur et Producteur
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Parmi la vingtaine de longs métrages réalisés en Angleterre et aux Etats-Unis :
My Beautiful Laundrette (1985)
Les Liaisons Dangereuses (1988)
Les Arnaqueurs (1990)
Mary Reilly (1996)
Madame Henderson présente (2005)
The Queen (2006)
Tamara Drewe (2010)
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3 commentaires:

  1. Difficile de suivre ton rythme ! Mais comme j'aime beaucoup Stephen Frears.....
    Bonne journée, à bientôt

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  2. Nous avons beaucoup aimé ce film, tout en délicatesse et émotion, et surtout l'interprétation de Judi
    Dench.
    Bravo pour ta belle note!
    Amitié

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  3. J'imagine la charge d'émotion que peut dégager un tel film. J'imagine l'attente de la mère et sa certitude angoissée de retrouver dans son enfant quelqu'un d'autre que celui qu'on lui a arraché quarante-cinq ans plus tôt. J'imagine aussi le regard étonné, distant peut-être, de celui à qui on va présenter sa "mère". Un fim à voir sans dout aucun. Quant à l'Eglise, elle a beaucoup à se faire pardonner à propos de ses actes passés. Ici, son attitude, par rapport aux jeunes mères célibataires, était aussi scandaleuse qu'inqualifiable...

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