Très difficile d'avouer que j'ai du abandonner la lecture (exactement à la page 120 !) de ce roman pourtant remarquablement écrit et au sujet très fort : impression pénible que le livre m'échappait, de rester complètement à l'extérieur de l'oeuvre, de "tourner en rond"...
Difficile néanmoins de passer sous silence un tel roman couronné par l'Académie française et partout encensé...
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Présentation du livre (4° de couverture) :
S'inspirant du fameux "1984" de George Orwell paru en 1950 que j'ai lu jadis sans trop l'avoir apprécier (allergie à l'anticipation ?), Boualem Sansal imagine donc un pays sous l'emprise absolue d'un régime religieux totalitaire, un pays où le passé a été complètement éradiqué...
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Au fond, tout est presque dit dans la phrase très forte que l'auteur a placée en exergue de son roman :
« La religion fait peut-être aimer Dieu mais rien n’est plus fort qu’elle pour faire détester l’homme et haïr l’humanité ».
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Peut-être reprendrais-je un jour la lecture de livre ???
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Boualem Sansal
né en 1949
Ecrivain algérien (romans, nouvelles, essais)d'expression française
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Ses romans :
Difficile néanmoins de passer sous silence un tel roman couronné par l'Académie française et partout encensé...
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Présentation du livre (4° de couverture) :
L’Abistan, immense empire, tire son nom du prophète Abi, «délégué» de Yölah sur terre. Son système est fondé sur l’amnésie et la soumission au dieu unique. Toute pensée personnelle est bannie, un système de surveillance omniprésent permet de connaître les idées et les actes déviants. Officiellement, le peuple unanime vit dans le bonheur de la foi sans questions.
Le personnage central, Ati, met en doute les certitudes imposées. Il se lance dans une enquête sur l’existence d’un peuple de renégats, qui vit dans des ghettos, sans le recours de la religion…
Boualem Sansal s’est imposé comme une des voix majeures de la littérature contemporaine. Au fil d’un récit débridé, plein d’innocence goguenarde, d’inventions cocasses ou inquiétantes, il s’inscrit dans la filiation d’Orwell pour brocarder les dérives et l’hypocrisie du radicalisme religieux qui menace les démocraties.
---Le personnage central, Ati, met en doute les certitudes imposées. Il se lance dans une enquête sur l’existence d’un peuple de renégats, qui vit dans des ghettos, sans le recours de la religion…
Boualem Sansal s’est imposé comme une des voix majeures de la littérature contemporaine. Au fil d’un récit débridé, plein d’innocence goguenarde, d’inventions cocasses ou inquiétantes, il s’inscrit dans la filiation d’Orwell pour brocarder les dérives et l’hypocrisie du radicalisme religieux qui menace les démocraties.
S'inspirant du fameux "1984" de George Orwell paru en 1950 que j'ai lu jadis sans trop l'avoir apprécier (allergie à l'anticipation ?), Boualem Sansal imagine donc un pays sous l'emprise absolue d'un régime religieux totalitaire, un pays où le passé a été complètement éradiqué...
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Au fond, tout est presque dit dans la phrase très forte que l'auteur a placée en exergue de son roman :
« La religion fait peut-être aimer Dieu mais rien n’est plus fort qu’elle pour faire détester l’homme et haïr l’humanité ».
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Peut-être reprendrais-je un jour la lecture de livre ???
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Boualem Sansal
né en 1949
Ecrivain algérien (romans, nouvelles, essais)d'expression française
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Ses romans :
- Le Serment des Barbares (1999 - Prix du premier roman et Prix Tropiques)
- L'Enfant fou de l'arbre creux (2000 - Prix Michel-Dard)
- Dis-moi le Paradis (2003)
- Harraga (2005)
- Harraga (2005)
- Le Village de l'Allemand ou Le Journal des frères Schiller (2008 - grand Prix RTL-Lire, grand Prix de la francophonie, Prix Nessim-Habif de l'Académie royale de Belgique, Prix Louis Guillou)
- Rue Darwin (2011 - Prix du Roman-News)
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Cet auteur doit ête un génie. Il ne peut pas sortir un livre sans qu'il soit primé ! En lisant l'argument du livre, j'ai pensé, dès les premières lignes, à Orwell, un bouquin qui, à l'époque m'avait à la fois intrigué et ému. Je lirais bien celui-là. Je vais me le faire payer... Mais, bon, tu me douches un peu avec ton commentaire. On verra. Bonne fin de journée. Florentin.
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