Match nul
ou
Le Triomphe de deux cantatrices au sommet de leur art !
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Aïda a été créée le 24 décembre 1871 à l'0péra Khédival du Caire (voir Wikipedia)
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Verdi dirigeant Aïda à l'Opéra de Paris en 1880...
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Ce 6 octobre au Met le chef italien Nicola Luisotti était à la tête de l'orchestre : une direction nuancée, convaincante tant dans les grands ensembles que dans les scènes intimistes.
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Le plateau était donc largement dominé par les performances exceptionnelles des deux protagonistes féminines :
La soprano russo-autrichienne Anna Netrebko (Aïda)
La mezzo géorgienne Anita Rachvelishvili (Amnèris)
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La distribution des rôles secondaires également excellente :
Quinn Kelsey (Amonastro)
Dimitri Belosselsky (Ramfis)
Ryan Speedo (Le Roi)
Gabriella Reyes (la Prêtresse)
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Par contre la prestation du ténor letton Aleksandrs Antonenko (Radamès) nous a fait souffrir : il fonce dans le brouillard, sans aucune nuance, avec sa voix de stentor pas toujours très juste...
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Cette production monumentale (1988) de Sonja Frisell, si elle bénéficie d'une bonne direction d'acteurs, est quelque peu démodée avec notamment des costumes pas très heureux et une scène du Triomphe de Radamès digne d'un (mauvais) péplum hollywoodien des années 50.
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Des images :
Anna Netrebko
avec
Aleksandrs Antonenko...
avec
Quinn Kelsey...
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Anita Rachvelishvili...
avec
Dmitri Belosselskiy...
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Extraits :
Duo (acte 2) ---) ICI
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Aïda a été créée le 24 décembre 1871 à l'0péra Khédival du Caire (voir Wikipedia)
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Verdi dirigeant Aïda à l'Opéra de Paris en 1880...
Ce 6 octobre au Met le chef italien Nicola Luisotti était à la tête de l'orchestre : une direction nuancée, convaincante tant dans les grands ensembles que dans les scènes intimistes.
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Le plateau était donc largement dominé par les performances exceptionnelles des deux protagonistes féminines :
La soprano russo-autrichienne Anna Netrebko (Aïda)
La mezzo géorgienne Anita Rachvelishvili (Amnèris)
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La distribution des rôles secondaires également excellente :
Quinn Kelsey (Amonastro)
Dimitri Belosselsky (Ramfis)
Ryan Speedo (Le Roi)
Gabriella Reyes (la Prêtresse)
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Par contre la prestation du ténor letton Aleksandrs Antonenko (Radamès) nous a fait souffrir : il fonce dans le brouillard, sans aucune nuance, avec sa voix de stentor pas toujours très juste...
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Cette production monumentale (1988) de Sonja Frisell, si elle bénéficie d'une bonne direction d'acteurs, est quelque peu démodée avec notamment des costumes pas très heureux et une scène du Triomphe de Radamès digne d'un (mauvais) péplum hollywoodien des années 50.
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Des images :
Anna Netrebko
Aleksandrs Antonenko...
Quinn Kelsey...
Anita Rachvelishvili...
Dmitri Belosselskiy...
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Extraits :
Duo (acte 2) ---) ICI
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"O Patria mia" (acte 3)
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Cet opéra a du être magnifique!
RépondreSupprimerHélas, trois fois hélas, en ce moment et pour je ne sais combien de temps, nous ne pouvons plus assister
aux retransmissions du Met, notre cinéma équipé a été fermé pour raisons de sécurité...
Nous avons une multisalles qui retransmet certains opéras de l'Opéra de Paris;
prochaine retransmission Simon Boccanegra mi-décembre.
Je profiterai donc de tes notes! Merci
Amitié
JPS
Dommage !
RépondreSupprimerLudovic Tezier, notre baryton national devrait faire merveille dans le rôle de Simon Boccanegra !
A bientôt et amitiés de JC
Discussion entre spécialistes .... Tu aurais dû devenir critique d'opéra ! Florentin
RépondreSupprimerDécidément, le MET ne renouvelle pas ses mises en scène, mais le plateau vocale est toujours somptueux, et c'est quand même là l'essentiel !
RépondreSupprimerExcellent dimanche
JEF