A partir de ses souvenirs personnels et de ceux de sa famille, Elia Suleiman évoque le destin tragique des palestiniens (les "Arabes-israeliens) qui sont restes sur leur terre natale, après 1948 (naissance de l'Etat d'Israël).
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Le ton du film surprend un peu: Tendresse, burlesque, émotion ... se "mélent" avec brio ...
J'ai beaucoup aimé, même si parfois j'ai eu l'impression que le film m'échappait peu : peut-être en raison de la richesse de son contenu !
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(Elia Suleiman, le réalisateur, interprète son propre personnage dans la dernière partie du film)
J'ai entendu des bons commentaires. Je le note dans ma liste des films à voir. NV
RépondreSupprimerBonjour, "Le temps qu'il reste" me donne envie d'aller voir, s'il passe dans les environs j'irai absolument !
RépondreSupprimerAmitié