C'est toujours avec plaisir que je me "plonge" dans un livre d'Edith Warton...(il m'en reste fort heureusement beaucoup à découvrir !)
Aprés "Vieux New-York" qui se passe à la fin du 19° siècle (cf fiche du 31 juillet), elle nous transporte au début du 20° avec cette brillante et ironique satire de la Haute Société new-yorkaise.
Tout est prévu, tout est parfaitement organisé dans la frénétique vie quotidienne de Pauline : rendez-vous, activités mondaines, sociales, tout ... :
"Les programmes de Mrs Manford étaient immuables. On en venait à douter que la maladie, ou même la mort, puisse les désorganiser. Tenter de modifier la mosaïque complexe de ses rendez-vous aurait été comme chercher à démolir la pyramide de Khéops avec le bout d'une ombrelle."
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"Une heure vide, c'était...mais, quoi, il n'y avait aucun moyen de prendre la mesure d'une heure vide ! Une heure vide s'étendait à l'infini comme une route interminable dans un cauchemar; une heure vide béait devant Pauline comme un précipice aux bords effondrés."
"Une heure vide, c'était...mais, quoi, il n'y avait aucun moyen de prendre la mesure d'une heure vide ! Une heure vide s'étendait à l'infini comme une route interminable dans un cauchemar; une heure vide béait devant Pauline comme un précipice aux bords effondrés."
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Dans l'univers de Pauline tout doit être parfait, tout doit continuer à être parfait, même lorsque les problèmes, parfois dramatiques, surgissent autour d'elle, dans sa famille... 
Tu blog es muy bonito.
RépondreSupprimerLo descubrí casualmente, pero se no te importas siempre estaré mirandolo.
Un beso con cariño.
Lêda.