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En Allemagne de l'est dans les années 80 :
Barbara, chirurgien-pédiatre à Berlin, est mutée, contre sa volonté, dans un hôpital de province.
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Soupçonnée de vouloir quitter la RDA (ce qu'elle se prépare effectivement à faire avec la complicité de son amant de l'ouest),
Et puis il y a André, le médecin-chef de l'hôpital, qui semble s'intéresser beaucoup à Barbara, mais pour quelles raison: est-il amoureux ? est-il chargé de la surveiller ?
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Barbara, à la fin (sublime) du film devra faire un choix trés difficile....
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Barbara, une héroïne fascinante et belle : Nina Hoss...
En Allemagne de l'est dans les années 80 :
Barbara, chirurgien-pédiatre à Berlin, est mutée, contre sa volonté, dans un hôpital de province.
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Soupçonnée de vouloir quitter la RDA (ce qu'elle se prépare effectivement à faire avec la complicité de son amant de l'ouest),
Elle va être être soumise non seulement à une surveillance directe (ainsi son appartement est fouillé régulièrement par les agents de la Stasi)...
Mais elle va, de plus, se retrouver piégée, plongée dans un milieu hostile, sinistre, pesant, où la méfiance est partout.
-Et puis il y a André, le médecin-chef de l'hôpital, qui semble s'intéresser beaucoup à Barbara, mais pour quelles raison: est-il amoureux ? est-il chargé de la surveiller ?
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Barbara, à la fin (sublime) du film devra faire un choix trés difficile....
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Barbara, une héroïne fascinante et belle : Nina Hoss...
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André : Ronald Zehrfeld...
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Politique et amour se mêlent dans ce film sombre, angoissant, totalement maîtrisé.
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Politique et amour se mêlent dans ce film sombre, angoissant, totalement maîtrisé.
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Selon le réalisateur...
Selon le réalisateur...
"...en RDA. La beauté, l'amour et la liberté étaient empoisonnés par la suspicion. Je voulais que le film se concentre la-dessus. Comment le pouvoir peut-il contaminer l'amour ? C'est ce qui est en jeu lors de la rencontre entre Barbara et André."
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Christian Petzold
né en 1960
Réalisateur
Scénariste
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Il a obtenu, pour "Barbara" son septième long métrage l'Ours d'Argent du meilleur réalisateur au dernier Festival de Berlin.
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Parmi ces films :
Contrôle d'identité (2001)
Yella (2007)
Jerichow (2008)
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Je me souviens avoir lu beaucoup de livres disant l'atmosphère noire et liberticide des temps de l'URSS, un temps où l'on devait même se méfier des siens. Comment un peuple peut-il sans réagir accepter de se courber pareillement ? On comprend que parfois des hommes se lèvent et se rebellent. Même violemment.Pour ne pas supporter l'insupportable.
RépondreSupprimerC'est un film que j'aimerai voir parmi beaucoup d'autres ! Il se peut que ça passe à la télé. Amicalement
RépondreSupprimerCe film était sur ma liste! Merci pour ta belle critique...comme d'habitude, qui incite à se précipiter au cinéma voir tes coups de coeur!
RépondreSupprimerJe suis un peu silencieux en ce moment étant pris par des déplacements, en particulier 5 jours de randonnée dans les Cinque Terre, en Ligurie, dur, mais absolument magnifique! Il y aura (au moins) une note, puis Paris demain (Le photographe Eugène Atget à Carnavalet!), puis dans une semaine, départ pour un mois aux USA...
Bien cordialement
Pour Promeneur du 68, c'est drôle, car je reviens aussi des Cinque Terre, mais le beau temps ne fût pas hélas au rendez-vous ! C'était quand même merveilleux, et heureusement qu'il y avait de superbes palais et musées à Gênes pour nous réfugier de la pluie !
RépondreSupprimerCe film allemand semble s'inscrire dans la lignée de la Vie des autres et de Good bye Lenin, je vais donc essayer de m'en souvenir.....