Rien de Céleste dans cette Aïda des Chorégies d'Orange : bien décevante vocalement...
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Que peut-on retenir de cette représentation ?
- La mise en scène épurée de Charles Roubaud qui a su traiter avec bonheur les moments intimistes (il y en a beaucoup dans Aïda), ce qui n'est pas tellement évident dans un cadre aussi grandiose...
Tugan Sokhiev (né en 1977)
A la tête de l'orchestre national du Capitole de Toulouse...
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- Les prestations vocales de la mezzo-soprano russe Ekaterina Gubanova (Amnéris) et de quelques rôles secondaires.
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Indra Thomas (Aïda) & Ekaterina Gubanova...
I -
Carlo Ventre (Radamès) et Indra Thomas..
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(A regretter : la présentation calamiteuse de la soirée par Julie Depardieu et Olivier Bellamy)
Franco Corelli (1921-2003)
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Bien d'accord avec tes commentaires.
RépondreSupprimerLa prestation des deux guignols débraillés qui faisaient office de présentateurs a atteint un sommet de ridicule, qui confère d'ailleurs à un mépris aussi détestable que grossier : ces deux bouffons pensent sans doute que pour faire comprendre l'opéra au public (forcément ignare), il faut imiter Dorothée ou Casimir dans L'Ile aux enfants (qui étaient d'ailleurs, si je me souviens, quand même pas stupides à ce point). C'est lamentable sur une chaine publique, j'avais envie de leur balancer ma pantoufle !
Sinon, j'ai bien aimé l'orchestre, fluide, caressant et subtil ainsi que la mise en scène vraiment intelligente et belle.
Les chanteurs étaient corrects mais sans plus ; prestation trop appuyée et maniérée pour la volumineuse Aida ; j'ai déjà oublié les autres ; c'est vrai que le plein air et le mistral rendent les choses souvent difficiles.
Bientôt Natalie dans La Traviata !
Amitiés