Où il est question d'un philtre d'amour, tout comme dans Tristan...
Mais avec une fin quelque peu différente !
-
-
Un livret plaisant et astucieux...
Une musique virevoltante, pétillante, tendre aussi parfois...
Dans
l'Elixir d'amour,
on passe du rire au sourire, à la mélancolie parfois :
Une incontestable réussite de l'opéra bouffe...
-
---
-
Une soirée bien agréable que nous a offert le Met :
Mais avec une fin quelque peu différente !
-
Un livret plaisant et astucieux...
Une musique virevoltante, pétillante, tendre aussi parfois...
Dans
l'Elixir d'amour,
on passe du rire au sourire, à la mélancolie parfois :
Une incontestable réussite de l'opéra bouffe...
-
-
Une soirée bien agréable que nous a offert le Met :
---
-
La direction musicale était assurée par le chef vénézuélien Domingo Hindoyan qui a mené l'orchestre du Met "tambour battant"...
-
Une bonne distribution :
Adina était interprétée par la jeune soprano sud-africaine Pretty Yende parfaitement à l'aise tant scéniquement que vocalement avec la fraîcheur de sa jolie voix.
-
L'américain Matthew Polenzani était Nemorino : un rôle qu'il a souvent chanté de sa belle et puissante voix de ténor.
---
Bonne prestation également du jeune baryton italien (Belcore)...
---
La surprise de la soirée a été pour moi le baryton- basse italien Ildebrando Arcangelo qui réussit, par une interprétation époustouflante, à transformer et faire passer au premier plan le rôle (secondaire) de Dulcarama...
lll
---
-
Matthew Polenzani chante le célèbre "Una furtiva lagrima"
-
La direction musicale était assurée par le chef vénézuélien Domingo Hindoyan qui a mené l'orchestre du Met "tambour battant"...
-
Une bonne distribution :
Adina était interprétée par la jeune soprano sud-africaine Pretty Yende parfaitement à l'aise tant scéniquement que vocalement avec la fraîcheur de sa jolie voix.
-
L'américain Matthew Polenzani était Nemorino : un rôle qu'il a souvent chanté de sa belle et puissante voix de ténor.
Bonne prestation également du jeune baryton italien (Belcore)...
La surprise de la soirée a été pour moi le baryton- basse italien Ildebrando Arcangelo qui réussit, par une interprétation époustouflante, à transformer et faire passer au premier plan le rôle (secondaire) de Dulcarama...
lll
-
Matthew Polenzani chante le célèbre "Una furtiva lagrima"
---
-
Remarque : je crois qu'il vaut mieux oublier la production scénique de Bartlett Sher, avec notamment ses décors plutôt minables....
---
-Voir ICI
-
Remarque : je crois qu'il vaut mieux oublier la production scénique de Bartlett Sher, avec notamment ses décors plutôt minables....
-Voir ICI
l'Elixir d'amour au Met en 2012 avec déjà Polenzani entouré de Netrebko, Kwiecien, Maestri sous la direction de Maurizio Benini
*
***
*
***
*
Ah dommage, nous n'y étions pas (pour cause de concert au même moment: je sévis dans un choeur d'hommes...)
RépondreSupprimerMon dernier souvenir date de 2014 à Covent Garden :
http://lepromeneurdu68.blogspot.fr/2014/11/opera-lelixir-damour-de-donizetti.html
Merci pour ta belle note!
Amitiés
JPS
J'ai laissé un message hier et apparemment il n'a pas passé. L'informatique est décidément capricieuse. Je te moquais un peu à propos de ton perfectionnisme. Tu as trouvé cet opéra superbe, mais tu as chipoté pour les décors. Mais, bon, heureusement que ce ne sont pas eux qui chantent ! PS : J'ai trouvé un truc pour mettre des photos sur mon site, je passe par un hébergeur d'images. Les potes ont été de bon conseil. Florentin
RépondreSupprimerUn si joli opéra, dont on ne se lasse pas, et avec une bien belle distribution.
RépondreSupprimerLa mise en scène semblait très conventionnelle, comme toujours au MET.
Je me souviens de celle de Laurent Pelly, à Bastille, qui avait transposé l'action dans les années 50. Il y avait une Vespa et une petite estafette sur scène, et une bonne partie de l'action se passait sur un gros tas de foin. Dulcamara surgissait dans une espèce de camping car, et tout fonctionnait remarquablement bien. J'avais tellement aimé ce spectacle que j'y étais allé plusieurs fois.
Bonne journée
JeF