James Lee Burke
nous offre un parcours passionnant dans le Sud des Etats-Unis,
un parcours émaillé de souvenirs personnels,
et d'une série de portraits de personnages remarquablement campés et attachants...
Ce dans un trés beau style, particulièrement efficace : tour à tour réaliste et lyrique.
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La dernière nouvelle, qui a donné son titre au recueil, a été écrite après le terrible ouragan Katrina qui a dévasté la région en août 2005 :
Elle est un magnifique et émouvant chant d'amour que
James Lee Burke
adresse
à La Nouvelle-Orléans...
En voici quelques extraits :
un parcours émaillé de souvenirs personnels,
et d'une série de portraits de personnages remarquablement campés et attachants...
Ce dans un trés beau style, particulièrement efficace : tour à tour réaliste et lyrique.
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La dernière nouvelle, qui a donné son titre au recueil, a été écrite après le terrible ouragan Katrina qui a dévasté la région en août 2005 :
Elle est un magnifique et émouvant chant d'amour que
James Lee Burke
adresse
à La Nouvelle-Orléans...
En voici quelques extraits :
"J'ai grandi à La Nouvelle-Orléans - la "Grosse Pourrie", pour les intimes, dans l'ouest de la ville, à hauteur de Magazine Street, au milieu des chênes verts, des gangs, du jazz et des bougainvillées, plantées là, disaient les frères chrétiens, pour nous rappeler le sang versé par le Christ au jardin des Oliviers."
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"Un ouragan, c'est censé avoir un début et une fin. Cela met la terre sens dessus dessous, ça fait voler les arbres, les briques, les animaux et parfois même les gens, ça vous fait rouler en boule sous une table et prier jusqu'à ce que des gouttes de sang perlent sur votre front, puis l'eau se retire et on n'a plus qu'à nettoyer derrière, comme si toute la ville avait été victime d'une énorme farce. Mais cet ouragan, c'était différent ; c'était la mort à petit feu."
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"Voilà comment c'était à l'époque. Quand on se réveillait le matin, ça sentait les gardénias, l'odeur électrique des tramways, le café à la chicorée et la pierre verdie par le lichen. La lumière était tamisée par les arbres, elle n'était donc jamais agressive, et il y avait des fleurs toute l'année. La Nouvelle-Orléans était un poème, mon pote, un chant qu'on avait dans le coeur et qui ne mourrait jamais."
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James Lee Burke,
né en 1936 à Houston (Texas),
Ce trés grand écrivain est salué comme
"Le Faulkner du roman noir"...
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voir ICI fiche du 30.04.2012.
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James Lee Burke,
né en 1936 à Houston (Texas),
Ce trés grand écrivain est salué comme
"Le Faulkner du roman noir"...
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voir ICI fiche du 30.04.2012.
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