lundi 4 mars 2013

PARSIFAL (1882) - Richard WAGNER (1813-1883) - En direct du MET de New York (02.03.2013) - Cinéma Pathé Boulogne

Je ne suis pas un "spécialiste" de Wagner et c'est sans enthousiasme que je me suis déplacé pour assister à cette retransmission de Parsifal  : j'avais même prévu de partir lors d'un entracte.
Belle surprise, j'ai été complètement enthousiasmé, envouté même...
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Je ne sais si les puristes sont du même avis mais tout m'a paru réuni pour la réussite de cette représentation sous la direction musicale du chef italien Daniele Gatti.
En tête d'une distribution remarquable le ténor allemand Jonas Kaufmann...

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A ses cotés la soprano suédoise Katarina Dalayman : Kundry...
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La basse allemande René Pape : Gurnemanz...
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Egalement :
le baryton suédois Peter Mattei : Amfortas,
le baryton-basse russe Evgeny Nikitin : Klingsor,
et tous les autres...
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De plus, la mise en scène du Québécois François Girard rend presque limpide un livret plutôt compliqué :
Epurée, presque statique...
Et trés belle visuellement...
extrait 1° acte : René Pape...
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extrait 2° acte : Jonas Kaufmann...
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5 commentaires:

  1. Un très beau plateau vocal et, effectivement, une mise en scène qui a l'air assez épurée. Je suis très heureux que ce Parsifal t'ait autant plu et j'attends avec impatience la sortie d'un DVD pour le découvrir (même si le temps me manque cruellement en ce moment).
    Au disque, il faut écouter les versions Krauss et Knappertsbuch prises sur le vif à Bayreuth, elles sont très émouvantes ; l'idéal est d'avoir sous le nez le livret et la traduction (et aussi un bon fauteuil car c'est long).
    La musique est effectivement envoutante, voire planante, et c'est peut-être de tous les opéras de Wagner celui qui me fait le plus vibrer....
    Amitiés
    JeF

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    1. J'ai passé une soirée merveilleuse...
      J'ai pris note de tes conseils..Mais peut-on devenir "accro" de Wagner à prés de...ans.?

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  2. Pour des gens qui, comme moi, ne comprennent pas grand-chose à l'opéra, il faut que nous soyons attirés dans la salle par autre chose que la musique proprement dite, la qualité scénique par exemple, ou la beauté des décors, la féérie du spectacle. Quelque chose, qui fasse corrélativment apprécier le chant donné et la musique. Je t'entends souvent parler du MET de New-York, ce doit être "le spécialiste". A plus. Florentin.

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  3. En réponse à ton com. J'ai, évidement, essayé d'ironisr à propos des pollutions dues au diesel. Mais, je crois, comme toi, qu'il n'y a pas lieu là de se fendre la gueule. L'air que nous respirons, et ce n'est pas lié qu'au diesel, est saturé de saloperies. Mais on n'y peut rien, il faut même en accepter une part. Sous peine de retourner à l'époque de la lampe à huile. De toute façon, on est faits aux pattes. A plus. Florentin.

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  4. Bravo pour ta belle note sur Parsifal!
    Je ne connaissais pas bien cet "opéra" ou plutôt cet "oratorio".
    J'ai vraiment beaucoup aimé, la mise en scène, la musique, Kaufmann bien entendu, Katarina Dalayman, René Pape, of course!
    Tout y est absolument magnifique.
    Je partage ton point de vue ; mais nous n'avons pas vu la fin, devant partir au dernier entr'acte afin d'être en état de prendre le lendemain notre avion aux aurores pour Lisbonne...Donc je ne peux avoir de jugement global et ne ferai donc pas de note sur cette oeuvre...
    Oui, on peut devenir wagnérien à ...
    Amitié.

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